Tel est le destin

William arriva en ville, cela fesait certainement 3 jours qu'il marchait, si ce n'était pas plus, ol avait perdu notion du temps, tout ce qu'il savait ce que en se dirigeant vers cette villes il entendait les passant parlé du massacre.

''Les lycans ont été détruits une menace de moin!''

Et plein d'autre de ce style la, aparament ils avaient étoufé la partie ou William tuait le vétéran.

Tout sa finalement pour dire qu'il arrivait en ville, il avait volée une tunique a capuchon avant de partir, la tunique noir cachait son visage et perssone ne pouvait le repérer. Il devait etre discret.Le Juste lui avait dit de venir ici, il se demandait quoi faire maintenant il ne lui avait pas plus donné d'indication que cela.

Il voyaits des soldats marcher, mais étrangement il ne semblait pas respecté et on aurait dit que juste éfectuer leur services était térrifiant, jamais il était venu dans un endroit comme ici.

William entendit, restant debout seule dans la place centrale, se demandant ce qu'il fallait faire maintenant, il entendait un signe, le vent souflait, quelque jours auparavant une fine couche de neige avait tombé mais il y en avait deja plus de trace.

Ne voulant pas se faire remarqué debout tout seule de meme au centre de la place il alla s'assir a un banc e bois et regarda les alentours.

Des gens marchaient dans tout les sens.
Quelques gardes étaient en effet nerveux, mais la plupart motnrait une confiance en eux qu'ils avaient gagné car ils étaient encore en vie.
La population était partagé entre deux catégories: les gens qui aiment les gardes, et c'eux qui les méprisent car ils les défendent mal.
La moitié de la population était dans chaque camp.
Des gardes passaient dans tout les sens, maintenant en groupes de dix hommes.
Depuis que cela avait été instauré, il y avait beaucoup moins de pertes chez les gardes, et l'ordre revenait petit a petit.
Un homme en robe de Spectre du Glyph était devant une auberge, l'Auberge de la Veuve Éplorée. Il était chauve et avait des yeux vert, comme tout les autres Spectres du Glyph, ses humains étranges.
L'homme devait probablement savoir ce que les Hyldens préparaient, car les SPectres du Glyph étaient haut placé dans la Hiérarchie de l'Ordre Séraféens.

William regardait les environs, il vit le spectre devant l'auberge, il savait que ces étres était tres puissant et qu'ils savaient tout, il trouva cela étrange de le voir ainsi dans la rue , comme si de rien n'était. Il réfléchit a quoi faire, il ne savait tout simplement pas quoi faire, il ne pouvait pas tout simplement allé le voir et lui dire ''eille je cherche des information pour détruire les hyldens me les donnerai tu?''. Il réfléchit, il réflichissait depuis 5 minutes quand il trouve, il augmenta la pression sanguine dans ses yeux pour que de petite veine apparaise et il jouai a l'homme ivre.

Il apparut en tibutant a coté de l'homme en jurant et lui présenta la main.

Bien le bonjour!,,,, jm'apelle Peter. Vous c'est quoi?

Il s'acrocha au mur pour donné un effet plus convaincant, mais il voulait seulement attiére l'attention du spectre car il savait que celui-ci n'était pas sot.

Le Spectre se tourna vers le lycan et prit un air méfiant. Il avait les mains croisés dans le dos, mais tout le monde savait que les SPectres utilisaient la magie, et donc qu'ils n'avaient pas besoin de leurs main.
Le Spectre regarda l'homme ivre et dit:

Vous nuisez a une mission de l'Ordre Séraféen. Laissez-moi, ou je vous amène directement dans les prisons.

Sa devenait de plus en plus intéressant.

Bah... ma femme m'a laissé pour le grand Francois, pi ta prison sa m'importe peu.. Hic.. quel mission pour les saraféen?..

William voulait allé a la prison, de la se serais facile trouvé des informations et éventuellement s'échappé.

Le Spectre leva une main, et un aura vert entoura le lycan. Le lycan fut soulevé a quelques pas du sol, et le Spectre dit:

Dernière chance, humain. Partez, ou vous serez amené dans la prison de l'Ordre Séraféen. Votre vie privé n'est pas de mon ressort.

William jouait bien son role, il voulait se faire arréter, et cela allait celon ces désir. S'il allait en prison il serait emprisonné, mais pas pour longtemp des qu'il aurai trouvé une facon de sortir , il poura s'échaper ,fuire ces goelies et trouvé de quoi s'agissait leur mission.

Il continua son role d'homme ivre.

Tes comme le grand Francois ordure!

William lui cracha dessu, attendant sa réaction.

Le Spectre essuya la salive de ''l'ivogne' et prit un air mauvais. Il disparu, et le lycan aussi. William réapparu dans une cellule de trois mètres par trois mètres.
Le SPectre était hors de de la cellule, fixant le lycan emprisonner.
Les barreaux étaient en argent, et deux gardes, armés d'épée en argent et ayant des arcs avec des flèches a pointes en argent, étaient face a le cellule.

William se retrouva en cellule, il regarda le spectre en dehors de la cage.

Merci de m'avoir montré la voie.

Il toucha au bareau dans le but des arracher mais se brula tres profondément, il enleva vivement les main des barres, la pomme était brulé.

''Pas tres brillant de ma part'', se dit-il.

Il fit un mouvement pour prendre le glaive a sa ceinture mais celui-ci n'était plus la.

Ou est mon épée?!

Les yeux de William était irisé de rage bleutée.

Vous serez executé demain matin, a l'aube. Les raisons seront d'avoir nuis au travail d'un Spectre. Vous serez lapidé pendant une heure, puis fouetté. Ensuite, on vous enduira le corps d'huile brûlante, et on laissera les corbeaux se nourrirent de votre chair.

Le Spectre leva une main, qui tenait le glaive du lycan. Les gardes rirent du lycan, et l'un d'eux dit:

Citoyen, t'a fais la pire gaffe de ta vie, parole de Jorren!

Les grand yeux bleu du lycan se posérent sur le garde moqueur.

Traite moi encore une fois comme un simple citoyen est je te ferai avaler toute tes petite piéces d'argent.

Les yeux bleu de William fixait le garde, ce regard qui pouvait transpercer l'arme d'un mortel aisément.

William s'assis dans le fond est fit mine d'accepté son sort.

Bon puisqu'il en est ainsi, je mourerai.,dit-il avec une pointe de sarcasme.Mais avasnt de mourir, quelle cette mission que j'ai interrompue.

Il ne jouait plus du tout l'ivrogne il était lucide et regardait le spectre, il n'était nullement imprésionné par ces créatures, en faite, rien de l'impressionait , sauf peut-étre les chef des séraféens et Kain.

Le Spectre disparu simplement, et le garde moqueur, Jorren, dit:

Parle pas beaucoup, ce Spectre. N'empêche, tu es vraiment dans la merde, 'citoyen'.

Il avait insister sur le mot citoyen.

Bon, et sa, c'est pour m'avoir menacer..

[color=orangeIl tira une flèche a pointe d'argent en plein dans le gras de la cuisse de William, lui arrachant un bref cri de douleur, alors que l'argent brûlait sa peau. Le garde ouvrit de grand yeux.[/color]

C'est un lycan! Un lycan! Je les croyais tous mort, après la bataille qu'il y a eu a Avernus!

William recut la fléche en plein dans la cuisse, par chance elle n'Avait pas touché d'artére ni de muscle, mais l'argent lui rongeait la peau et lui fesait horriblement mal.

Tu vas voir ce que je fait au soldat un peu trop prétentieux,dit-il.

La haine se lisait sur son visage lorsque il retira la fléche de sa cuisse en hurlant de rage. William donc les yeux bleu était complétement dilaté, ce qui n'était pas tres bon signe en général car cela signifiait que son coté animal prenait le dessu,relanca la fléche avec une puissance énorme vers le cou du garde.

En se retournant il entreprit de faire une bréche dans le mur a coté de la porte a cou de poin, ses jointures était en sang, mais il s'était entrainé a ne pas resentir la douelur, et le mur commencait a céder sous les poins puissant du lycan enragé, qui n'était meme métamorphosé.

Le garde plongea et évita ainsi la flèche, mais WIlliam se brûla la main. Quand il se mit a frapper le mur, un petit écran vert apparu entre ses poingts et le mur; un 'bouclier' magique.
William était bel et bien coincé dans cette cellule, et avec aucun moyen de sortir.
Le garde se mit a rire et dit:

Qui s'en va a la mort la plus horrible qui puisse? C'est toi!

William tomba par terre, il se tenait la tete a 2 mains, des images se succédait dans sa tete, des enfants courant dans son villae natale, sa femmes, ses fils, le voleur, les yeux du lycan devinrent bleu profond. Il hurla de douleur et de rage, son coté animal ayant repris le dessu, ses os se déformérent et il prit sa forme de lycan, son pelage noir hirsut, il était complétement enragé, il regardai les 2 hommes et fonca sur la grille meme si celel-ci lui fesait mal, la peau brulait mais il continuait de rentrer de plain fouet dans les barreau en regardant les 2 garde avec haines et une lueur de folie se lisait dans ses yeux.

Le lycan n'avait aucune chance de passé a travers les barreaux, et il finnit même par s'évanouir. Plutôt que de concerver son energie pour tenté de s'évadé lorsqu'il serait amené a son lieu d'execution, il avait dépensé son énergie a tenté de sortir d'une cellule protègé par la magie Séraféenne. Il avait perdu 90% des chances de s'échapper. Une miracle allait-il le libéré?
Et bien oui, un miracle allait venir l'aidé.
Ce miracle, il s'appelait Le Juste.
Le Juste apparu derrière les deux gardes et leur trancha la gorge avec sa dague, puis s'avanca vers la cellule, pour regarder le lycan inconscient. Il secoua la tête et marmona 'abruti', puis leva une main.
Un orbe noir sortit de sa main, et la porte de la cellule s'ouvrit.
Quand le lycan se réveilla, deux nuis plus tard, il était dans une pièce sombre, éclairé par une seule bougie. Il était redevenu sous sa forme humaine, et il était allongé sur un lit de paille.
Le Juste était face a lui, assis sur une chaise.
Le lycan pouvait rescentir de la douleur dans chaqu'un de ses mucles, car il avait été en contacte avec l'argent un peu trop. Mais il s'en sortirait.

William se releva lentement, la tete encore un peu lourde, il se souvenait pas de grand chose, sa lui rappelait ses premiéres transformation. Il était couché sur un lit de paille complétement nue, seulement une couverture lui recouvrait le corp, il se releva péniblement et regarda Le Juste.

Il se frotta les tempes et regarda les alentours, la piéce était grande et sombre, éclairée seulement d'une chandelle au centre.

Tu vois que les lycans ont plus a envié au vampires que le contraire, meme apres plus de 1400 ans je controle pas tout a fait mon coté animal et celui-ci s'échappe.

Des marques de brulure était visisble sur son bras, étant été en contact prolongé avec de l'argent sa prendrait plus de temp se cicatricer.

Et maintenant que fais-je?

Il remarqua que son glaive n'était toujours pas la et il ne voyait pas de vétement pour se vétir dans les environs.

Le Juste lui lança une tunique bleu, comme celle des chevaliers séraféens, et il sourit.

Tu ne réfléchis pas beaucoup, n'est-ce-pas mon feral ami? Tu devrais utilisé ta tête un peu plus. J'ai tué les gardes, et prit l'uniforme de l'un d'eux. Comme sa, tu pourras t'infiltré dans le château, en passant par les points de contrôle garder par les chevaliers. Mais évite les Paladins. Eux, ils reconnaissent tout ce qui est pas humain. Là, on est dans une auberge, loin du centre ville.

Wiliam revetit la tunique, et se frotta le crane, il savait ou était le chateau, mais il avait perdu notion du temps depuis sa perte de connaiscance, il voulut regardé dehors, mais il se souvint que si il fesait jour cela tuerai le vampire.

Somme-nous le jour ou la nuit?

William se prépara deja, échafaudant des plans dans sa tete pour pouvoir passé dans le chateau et enfin savoir de quoi il retournait. Il cherchait toujours son glaive des yeux, probablement que Le Juste comprendrait ce qu'il cherchait.