Arlf Mondel

Arlf Mondel était un homme musclé et grand, environs deux mètres de haut. Il avait environs quarante ans, mais il semblait n'en avoir que trente. Large d'épaules, portant une longue chevelure noire de jais, le Paladin Séraféen était un homme imposant autant par sa stature que sa préstence.
Il avait un bouc noir, et ses yeux étaient bleu foncé. Il portait une magnifique armure couleur or, sans haume, et une hache de guerre était attaché dans son dos.
L'homme marchait dans Stablberg.
Le village était petit. Une quarantaine de maison, pas plus de trois cent habitants, et le bastion n'était qu'un petit manoir. Il n'y avait que cinquante soldats là-bas, plus une douzaine de Séraféens.
Arlf était au marché, observant les stands et les marchandises.

Une jeune femme marchait dans la place où le marcher se trouvait. Celle-ci regardait les étalages des marchands, s'arrêta pour parler avec telle ou telle marchand et s'acheter telle ou telle pommade. Ne voyant pas l'homme recherchait dans la foule, celle-ci s'arrêta près d'un marchand de pommes. Les pommes étaient rouges et semblaient juteuse à souhait. Le marchand en proposant une à la jeune femme. Celle-ci écouta le vielle homme avec un sourire chaleureux, mais refusa. Elle cointinua pourtant à bavarder avec et lui posa une simple question, bien anodine.
-Mon cher monsieur, j'aimerais savoir si vous auriez entendu parler de se Séraféen très méritants... Mmmm, comment se nomme-t-il déjà? Arf, Arl...

-Arlf? Arlf Mondel? Biensur que je le connais! Qui ici ne le connait pas?!?

La jeune femme semblait intéressé par se que venait de dire le viel homme.

-Vraiment? Fit-elle les yeux papillonnant. Savez-vous ou je pourrais le trouver? Elle lui fit un sourire charmeur entendant sa réponse.

-No... À oui, le voilà! Là bas. Vous voyez? Il pointa dans la direction d'un homme grand et musclé aux cheveux noirs. Et le jeune fille donna un bisou sur la joue de l'homme.

-Merci beaucoup monsieur, je vous revaudrait cela. Et celle-ci partie plus loin, en dehors de la vue de l'homme.

Sarianne marcha dans la rue, la tête penché vers ses pieds. Cela fesait 2 jours qu'elle était arrivé et enfin ces recherches touchaient à leur but. En cointinuant de marcher, elle ne vit pas l'homme qui marchait vers elle. Lui même trop absorbé par les étalages ne la vit pas ou sinon, pas avant d'avoir trébucher dessus. Sarianne avait tombé de tout son long, en rentrant de plein fouet la large poitrine de l'homme.

Arlf marchait tranquilement quand quelque chose, ou plutôt quelqu'un, lui rentra dedans. il vit une jeune femme s'étalée de ton son long et prit un air vraiment désolé, car il n'aimait pas voir des femmes tombée ou souffrir. Il se pencha et lui prit délicatement la main, puis bredouilla, d'une voix douce pour un homme de sa stature:

Pardonnez-moi, ma dame. Je ne vous avais pas vu, ce qui est étrange. Une si belle jeune femme ne passe pas innaperçue. Je vous prit de m'excusez.

Il sourit et l'aida a se relever, puis dit:

Encore une fois, je suis navré, gente dame. Je me nomme Arlf Mondel. Et vous, quel est votre nom?

La jeune femme regarda l'homme d'en lequelle elle avait foncé. Celle-ci semblait toute génée et rougit de plaisir lorsqu'elle entendit le compliment. L'homme avait une voix douce et agréable, une voix qu'elle n,aurait cru que possèderait un homme de cette stature. Celui-ci l'aida à se relever, mais toujours gènée bredouilla un merci à peine audible, mais puisque l'homme avait reprit la parole, il ne puit l'entendre.

-Encore une fois, je suis navré, gente dame. Je me nomme Arlf Mondel. Et vous, quel est votre nom?

La jeune fille regarda l'homme en face lorsqu'elle répondit d'une voix douce.

-Elena Selfigea, monseigneur Mondel. Et elle lui fit un petit sourire.

Le grand homme sourit et dit:

Je suis enchanté de vous rencontré, Elena. S'il y a quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonnez, dites-le moi. Voulez-vous un verre dans mon manoir?

Elle put voir qu'il admira d'un coup d'oeil rapide les formes aventageuses de la jeune femme, et qu'il sourit, autant pour paraitre charmant que parce qu'il croyait avoir trouvé 'un bon coup pour la nuit'.

La jeune femme fit mine de réfléchir. Biensur, un homme comme cela qui vous demandait si poliment de venir boire un petit quelque chose à son manoir était hors contexte plustôt tentant, mais tentation et travail devait-il se meler? *Biensur que oui* Fit une voix sadique dans la tête d'Elena. Ellesourit à l'homme et s'approcha un peu plus de lui, sur la pointe des pieds, elle lui souffla:

-Moi de même sir, et un verre serait très plaisant. Elle se recula un peu, revenant sur la plante des pieds et arborant un sourire magnifique. Elle ne fut pas dupe, elle avait bien remarqué le regard d'Arlf et en fut...contente. Et y a peut-être quelque chose que vous pourriez faire pour vous pardonner. Elle lui fit un sourire séducteur et mystérieux, mais ne finit pas sa penser. À quoi bon, Arlf devait surement comprendre par sa manière d'être qu'elle n'était pas insensible à son charme.

Le Paladin sourit jusqu'au oreilles et lui prit gentiment la main, puis la guida vers le manoir, une maison de trois étages. Il la guida dans son bureau, et il lui proposa de s'asseoir pendant qu'il marchait vers une armoire, avec de l'alcool dedans.
Pendant qu'il regardait ses alcools, Sarianna pouvait voir des papiers sur son bureau, a propos de quelque chose qui s'appelait le <Nexus>. Probablement une information que Le Juste aimerait avoir.

Sarianne se laissa guidé par sa proie. Elle gardait un sourire magnifique, mais en même temps curieux. Elle regarda les pièces et les couloirs défilé devant elle lorsqu'il lui ouvrit la porte de son bureau. Elle s'assit sur la chaise face au bureau d'Arlf. Les papiers sur le bureau lui tapa dans l'oeil et les regarda, tout en surveillant sou futur amusement. Elle lut sur un papier le nom ''Nexus''. Cela allait surement intéressé son embocheur, dire qu'elle en avait oublié le nomMais non la race... Elle leva le regard vers Arlf et lui dit:

- Qu'elle magnifique pièce! Tout ici est...magnifique. Elle sourit et papillonna du regard, chose qui fesait littéralement craquer les hommes...Enfin de ceux qu'elle avait connu! Elle regarda la bouteille qu'il portait à la main, *une très bonne bouteille* nota-t-elle *une bonne année* .

Le grand homme sourit et dit:

Merci de complimenté ma demeure.

Un homme cogna a la porte et entra. C'était un jeune chevalier séraféen, qui murmura a l'oreille du paladin. Celui-ci devint livide, et il se tourna vers Sarianne.

Je dois..m'absenté quelques minutes. Je reviens rapidement.

Il sortit de la pièce avec le jeune chevalier, laissant Sarianne seule avec ses dossiers sur le projet <Nexus>, et avec de nombreuses autres feuilles, a propos de choses comme < La Pierre Nexus>, < La Machine> et < Le Dernier Espoir>. Qu'est-ce que c'était que ce charabia?

Sarianne se leva rapidement, dès qu'il fut sorti avec le jeune paladin. *décidament, tout les paladins sont de belles hommes!* Ne put-elle s'empêcher de penser en regardant sans toucher les parchemins. Elle se rappella qu'elle ne devait pas lire et ne lit pas. Comme elle aurait fait en d'autre circonstence. Elle ne pouvait prendre les feuilles sans que le disparition se remarque à moins qu'elle les pennais et partait. Seulement elle ne pourrait tuer Arlf on autre terme de son accord. Elle leva les yeux au ciel, mais entendit des bruits de pas. Même si ils n'appartenaient pas au beau noir, il fallait mieu faire comme si elle s'intèrressait à autre chose. Elle c'était assise de nouveau sur son siège écoutant les bruits de pas, faignant de regarder par la fenêtre le petit oiseau qui velotait dans les airs, un sourire en coin.

Le jeune chevalier était revenu dans la pièce. Il était haut de deux mètres, assez musclé, et il avait des cheveux brun assez long et une courte barbe. Ses yeux étaient vert. Une épée longue battait a son flanc.

Ma Dame, Sir Mondel va être occupé jusqu'a tard ce soir, car il va travailler seul dans son cabinet.

Le chevalier déposa la hache du paladin dans une armoire, ce qui voulait dire que le paladin était seul et désarmé dans son cabinet! Une chance unique de tué ce paladin.
Le chevalier sourit et dit:

Voulez-vous que je vous escorte quelque part?

La jeune femme regarda l'homme, comment cela se fesait-il qu'il soit retenu? Elle pesta intérieurement prit un air navré, mais la demande de l'homme sembla lui changé d'air. Elle se leva et prit un visage neutre..

-Non, j'ai cru remarqué où était la sortie lorsqu'Arlf m'a ammené ici. Elle prit un air un peu moin commode et regarda le chevalier, voulant voire sa réaction. Elle n'avait pas eu le ton très doux que l'on peut s'attendre à une femme si fragile, mais plustôt celui de celle qui à un orgueil ressemblant à si m'éprendre de celui d'un homme. Je crois pouvoir me d'ébrouiller seule, merci. Sur ce celle-ci alla vers la porte.

Le jeune chevalier inclina la tête et dit:

Comme vous voulez, ma dame. Bonne soirée.

Il attendit qu'elle soit sortit de la pièce, puis s'en alla vers le barraquement, ou tout les séraféens dormaient. Il se coucha et s'endormi, laissant le chemin jusqu'a Arlf Mondel sans garde.

Elle était sorit avant le jeune homme et c'était caché dans les ombres. L'homme passa devant elle sans la voir et sans avoir fermer entièrement la porte. Elle retourna dans le bureau et prit les quelque documents éparpillés. Elle les fourra dans une sacoche en cuir, attaché à sa taille. Elle sorti du bureau de nouveau.

Elle marcha dans les corridors, sans aucun bruit. Elle fahit entré en colision avec un meuble trop bas pour qu'elle le vit sans y avoir touché. Elle avait réussi ne faire aucun bruit, à part un légé frottement. Elle espérait que les hommes n'avaient pas une ouïe trop fine. Elle reprit sa marche et entendit enfin du bruit. Un faiseau lumineux traversait le bas d'une porte à sa gauche et s'en raprocha assé pour entendre des bruits de voix.

..suis votre instrument, Seigneur. fit la voix de Arlf.

Le Projet Nexus va bientôt être lancé, Mondel. N'échou pas, ou ton âme ira dans les Abysses, ou mon Maître pourra la mannipuler a sa guise.

Je n'échouerais pas, Seigneur.

Il y eu un bruit étrange, puis Mondel poussa un juron et dit:

Le salaud! Si seulement je pouvais parlé au Maître plutôt qu'a ce batard!

Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit, appercevant Sarianne. Il eu l'air surpris, puis son visage paru triste.

Vous n'auriez rien dû entendre.. dit-il en dégainant une dague.

Elle ne c'était pas attendu qu'il arriverait aussi vite à la porte, elle venait tous juste de reculer de quelque pas, évitant ainsi de se faire frappé par la porte. Elle regarda Arlf et regarda le poignard. Il ne le tenait pas correctement, on aurait dit qu'il tenait une épée pas assé longue.* Forte erreur* se dit-elle. Elle répondit sur un ton faussement navré.

-Et vous, vous n'auriez jamais du sortir de cette pièce. Et sans crier gare un poignard aussi long que l'avant bras de sa porteuse parti. Sa cible, la poitrine de l'homme et avant même que le coutelas se fiche ou non dans la poitrine, la jeune femme tira son autre coutela de sa botte gauche et le tena d'une main experte. Elle bougea rapidement et peut-être trop rapidement pour la vue de l'homme. L'espace était sombre et l'obscurité est toujours le meilleure allié des tueurs. Prête à bondir, elle fléchit des jambes, un petit bond et elle serait derrière l'homme. La porte c'était refermé et l'obscurité règnait.

Arlf, plutôt que de bloquer la lame, attrapa le poignet de la femme et serra, lui fesant lâché son arme. il bloqua l'autre lame avec son poignard, et il lui attrapa la gorge pour la soulever dans les airs.
Il la jetta sur le sol et dit:

Alors, vous êtes une tueuse? Et vous croyez pouvoir tué Arlf Mondel, l'un des épéistes les plus accompli de Nosgoth?! Je vais vous tuez, femme. Mais vous souffrirez avant!

Il la lanca contre une armoire qui se fracassa.

Il la prit par la gorge, comment avait-il pu? Elle était assé loin de lui pour ne pas ressevoir de coups de sa part. Elle venait de sous-estimer son adversaire, une faute qu'elle ne referra pas de sitôt. Lorsqu'elle percuta le meuble, elle eu mal oui, mais l'adrénaline fesait son effet. Elle ne ressentait plus la douleur dans ses bras et ses jambes et partout dans son corps. Mais si l,adrénaline venait à se dissiper, les drogues qu'elle avait dans sa trousse ferait l'affaire. Le bois était maintenat éparpillé autour d'elle et par chance, elle n'avait aucun bout de bois en elle sauf une petite écharpe...Faite il y a deux jours. Elle n'avait put d'arme à lames, mais un être humain possède bien des ressources que certain ne connaissaissent pas et pria Dieu qu'il soit du cas de se vaurien. Elle ne parla à quoi bon gaspiller quelque gootes d'énergie à placoter? Elle était de nouveau en position défensive. Elle n'allait pas attaqué la première, elle n'aimait pas faire ça. Surtout avec un homme de cette stature.

Il allait surement foncer sur elle demanière soit civilisé, soit brutale et dans les deux cas était prête. Il allait souffrir avant de mourir! Son coutela était près d'elle, elle pourrat le prendre en plongeant, mais avant il devrat être au tapis.

Arlf sourit et marcha lentement vers elle, puis dit:

Qu'as-tu entendus? Parle, et je ne te ferai pas souffrir.

Il leva sa dague, prêt a frapper. Il restait a distance raisonnable, au cas ou. Il était grand et musclé, mais elle avait put voir qu'il était aussi très rapide.

Elle le regarda avancer, il gardait une distance raisonnnable, mais pas assé pour elle. Elle eu un moue provocatric et lui dit tout simplement.

-Des choses, rien des très importants... pour moi. Elle plongea vers son coutelat, se redressa vivement Arlf n'avait pas encore fait un geste. Celui de Sarianne avait été trop rapide et surprennant pour la situation où elle se trouvait pour qu'il puisse faire quelque chose. Elle était près de lui et lui fit un croche pied qui atterrit sur leur cibles, le derrières des genoux de l'homme. Il en tombat au sol et lacha sa propre dague. Elle était prête à bondir dessus dès qu'il tenterait de se relever.

Mais Arlf ne tomba pas; il fit un roulement sur le dos et se rétabli sur ses pieds. il jura et fonca vers elle comme un déchainé, frappant partout avec ses poingts massifs. Il voulait apparament l'assomer, ou la battre a mort. Il était rouge de rage.

Et elle en fut contente. Un sourire d'amusement apparut sur ses lèvres, elle évita avec facilité les premiers coups du Séraféen. Lorsque son poing fahit l'assomer, elle prit son poignet de ses deux bras entrant du même coup son poignard dans son poignet et le fit basculer vers l'arrière. Une technique de contre poids était toujours la meilleure lorsqu'on se battait contre plus gros que soi. Elle avait vite fait de lacher son poignet et de retirer sa lame empoisonné pour l'occasion. Elle prit rapidement son autre coutelats. Tout ceci n'avait prit que 4 secondes et 43 millièmes.

- L'habit ne fait pas le moine, dit-elle au Séraféen. Peut-être n'allait-il pas comprendre ces mots, mais elle elle les comprennait. Sinon, pourquoi les aurait-elle prononcés? Elle ne c'était toujours pas départie de son sourire.

Le coutelas fit une simple petite entaille sur le poignet du grand homme, qui rugit et attrapa une chaise, qu'il lanca vers elle. La chaise se fracassa sur sa poitrine, et le grand homme vacilla soudainement. Il regarda son poignet et il dit:

Poison?! Je vais te tué!

Il tomba face contre terre, immobile.

Le jeune fille avait la respiration rapide et sifflante. Elle était fatigué. Elle avait agi trop vite, comme à son habitude et n'avait pas trop réfléchit. Elle avança vers le corps immobile, face contre terre. Et son sourire devint sadique. Elle s'agenouilla et dit dans un murmure.

-Qu'elle dommage... Et planta ses deux coutelats joint entre les omoplates de Séraféen. Elle était du pour une séance d'entrenement intensive c'était sur. Elle prit e pouls de l'homme et s'assura que le pouls ne battait plus. Elle attendit quelque seconde. Elle n'avait rien ressenti sous ses doigts alors se releva. Elle coupa l'un des doigts de sa proie, preuve qu'elle l'avait bien tué et l'enroula dans du tissu. Le sang coulait et formait un oréole bourgonne autour du coprs de l'homme. Vraiment dommage, remurmura-t-elle. Elle regarda dans le couloir, personne. Elle rechercha une fenêtre et en trouva une à l'autre bout du couloir et s'avança vers.

Beau combat. fit une voix derrière elle.

En ce retournant, elle put voir le Juste, assis sur le bureau du cadavre. Il sourit, encore et toujours. Il avait apparament vu tout le combat, sans intervenir.

Le gamin est déjà dans une école d'Avernus. Et votre argent est prêt a être reçu, si vous allez le chercher. Maintenant, donnez-moi les papiers. J'espère que vou ne les avez pas lu?