La Lune, seule témoin...(sujet terminé)

Dans une ruelle sombre, dans les plus piètres endroit de Willendort, un enfant mangeait du pain chaud et moueilleux. Le petit garçons ne devait avoir plus de dix hivers, douze au maximum. L'enfant avait les yeux fermé savourant le goût unique du pain frait. À côté du petit homme se tenait une femme à long cheveux or tressé. Elle avait mit un bras rassurant autour des épaules du petit garçon. Seule source de chaleur dans la nuit froide et sinistre. La lune, seule témoin du bienfait qu'une tueuse offrait à un enfant privé de tout. Le visage de la femme regardait cette lune, lune qui changeait continuellement de forme. Aujourd'hui l'astre était ronde, pleine, une nuit parfait pour commettre des larcings. Cependant, l'important de la voleuse était d'aider, de donner un peu de bonheur, de couleur à la vie du sans-abrit. La main de la jeune était sur la tête du petit bonhomme et lui fournissait de petites caresses. Pourtant la chasseuse de primes était aux alertes.

L'enfant avait finit de manger et regarda le visage de sa bienfaitrice.

-M, merci... Dit timidement l'enfant. Le regard de la jeune femme était tendre lorsqu'elle regarda le visage du petit garçon, nommé Joshua.

-Il n'y pas de quoi, puceron. Elle lui ébouriffa les cheveux gentiment, se leva et le leva du même coup. Je crois que tu devrais y aller. Sinon ils vont s'inquièter. Elle parlait des parents du petit garçon. Et savait que le petit ne voulait pas retourné chez lui, pourtant il le fallait. Elle se mit à sa hauteur et lui fit un sourir rassurant. Je te ramennerais un gâteau aux pommes la semaine prochaine. Promit, ok?! Le garçon la regarda piteux, mais avec un large sourire. Il adorait les pommes. -Oui, m'da...dame. Dit-il

-Bien alors, à dimanche prochain. Même heure hein! Ne soit pas en retard! Cria-t-elle à Joshua qui repartait vers chez lui en courant.

Elle se releva et entendit un brit derrière elle. Et se retourna rapidement.

Un homme était arrivé près d'elle, sans arme, apparament. L'homme portait une tunique noire, comme un voleur, et il était très pâle. Il était petit, un mètre soixante environs, et il était mince et athlétique.
Il leva les mains pour montré qu'il était non armé, et il dit:

Bien le bonjours, ma p'tite dame. On m'appel le Juste. Qui êtes-vous? Et n'avez-vous pas peur d'être seule dehors, la nuit?

Sarainne regarda l'homme devant-elle. Il était plustôt petit, pâle, mais athlètique. Elle regarda la simple tunique de couleur sombre de l'homme au devant d'elle. La Lune ne lui fournissait pas assé de lumière pour remarquer ses traits, mais ceci n'était pas important. Elle le jaugeait pourtant. Avec cette tunique, il aurait pu être un voleur ne voulant pas être vue. Celui-ci leva ses mains, signe évident qu'il n'était pas armé, mais la nuit le prudence était de mise. Même le jour, mais particulièrement sous l'astre de l'obscurité. Elle écouta l'homme parler. Et un sourire en coin apparut sur ses lèvres.

-Bien le bonjours, ma p'tite dame. On m'appel le Juste. Qui êtes-vous? Et n'avez-vous pas peur d'être seule dehors, la nuit? Disait-il.

Pourquoi devrait-elle avoir peur la nuit? La nuit est peut-être porteuse de nombreuses disparitions, de morts violente ou d'agressions, mais elle n'était pas sans atouts. Elle regarda l'homme et lui répondit.

- Non, j'ai bien peur de ne pas avoir peur la nuit, monsieur. Elle lui fit de nouveau son sourire en coin et reprit. Je me nomme Sarianne, mon cher et je vais vous poser la même question. Qui êtes vous? Elle le regarda sans souciller. Elle savait que lui demander si il avait peur la nuit était inutile. Une personne qui a peur le démontrerait, mains tremblantes, voix voilé par la terreur et celui-ci semblait ne rien ressentir de tout cela.

Le petit homme sourit, et on pu voir que ses canines supérieux étaient légèrement plus longue que la normale, et étaient très pointus. Il croisa les mains dans son dos et dit:

Comme je viens de vous le dire, on m'appel Le Juste, ma p'tite Dame.

Sans arrêté de sourire, il regarda le gamin, au loin.

Un brave garçon, ce petit. Il ira loin, dans la vie, s'il n'est pas tué.

Puis il fit quelques pas de plus vers la femme.

Et vous devriez avoir peur de la nuit. Car la nuit, c'est l'heure de sortit de beaucoup plus que des voleurs..

Sari roula des yeux. Oui, il avait dit qu'il s'appellait le juste, mais elle c'était plustôt attendu à autre chose. Elle aurait du dire quoi au lieu du qui, mais bon pas le temps de se reprendre. Enfin bon, elle avait eu la réponse qu'elle attendait. Il n'était pas humain. Il était plus, ou peut-être moins. Une chose certaine, il valait mieu qu'elle garde les mains basses, prêtes à prendre les armes. Elle l'écouta, il avait raison sur un point le petit bonhomme qui venait de partir était brave, bien plus brave que bien des hommes.

-Et vous devriez avoir peur de la nuit. Car la nuit, c'est l'heure de sortit de beaucoup plus que des voleurs..

À bon, comme si elle ne le savait pas! Elle n'était pas stupide quand même, mais au fond d'elle quelque chose la forçait à partir. Son instinct, fort peu apprécié, lui criait de prendre ses clics et ses claques puis partir. Mais elle refusais. La peur n'était pas une émotion qui a le droit de dictée ses actes. C'était sa tête et elle seule qui décidait. Pas des instincts primitifs! Elle n'allait pas avoir peur, pourtant elle recula du même nombre de pas que l'étranger fesait vers elle. Ses genoux étaient fléchis, elle était prête pour toutes évantualités. Elle ne voulait pas parler, il n'avait pas finit de parler et aussi bien qu'il finisse sa pensée jusqu'au bout.

Il l'observa en silence, puis dit:

Je sens que vous voulez partir. IL y a peu de peur en vous, mais il y en a quand même. Et vous êtes nerveuse. Si j'étais vous, je ne poserais pas ma main sur vos coutelas. Comment vous l'avez sûrement deviner, je ne suis pas humain. Et j'ai des pouvoirs, alors je pourrais vous tuez très rapidement.

Il sourit, apparament amusé, puis dit:

Je sais qui vous êtes, ma p'tite dame, et ce que vous êtes. J'aurais besoin de vos lames pour un petit travail. Ne vous en faites pas, les voleurs, les assassins et les gens comme moi n'ont qu'une parole, alors je vous promet que si vous faites le boulot que je veux, vous vivrez, et vous serez payé.

Il croisa les bras, attendant de voir si elle serait interesser a travailler pour lui.

Elle fronça les sourcils, étonné et un peu rageause qu'il est pus lire aussi facilement en elle. Elle l'écouta jusqu'au bout. Comment savait-il qu'elle possaidait des coutelas? Oui, elle avait une position qui pouvait signifier se qu,elle pourrait prendre, mais pas avec autant de précision. Normalement, un être aurait des dagues et non des coutelas. Ceci est nettement plus rare chez une femme, d'utlisé des coutelas...Sauf en cuisine. Il semblait amusé lorsqu'il reprit parole et elle fut piqué par la curiosité. Pourquoi vouloir son aide? Comment savait-il ce qu'elle était?... Elle le regarda et reprit une position plus décontracté, elle était interesser pas son offre. Cependant, elle resta sur ses gardes.

-C'est quoi votre boulot? Demanda-t-elle. Et pourquoi auriez-vous besoin de mes lames, parmit tant d'autre? Et comment pouvez-vous savoir se que je suis?

Elle amenna ses mains à sa taille et les y posa. En attente.

Le Juste secoua la tête, toujours amusé et de bonne humeur.

Comment je sais que vous êtes une chasseuse de prime, et comment je sais que vous avez des coutelas, c'est une chose que je ne dirai jamais. J'aime être mystérieux.

Il retira soudainement une dague de sa tunique et la placa sous la gorge de la femme. Puis il la rangea et dit:

J'aurais pu vous tuez, mais je ne l'ai pas fait. Et ne croyez pas que j'ai besoin de vous; le boulot, je pourrais le faire moi-même. C'est juste que je préfèrerais qu'on ne connaisse pas mon existence avant un moment.

Il marcha lentement autour d'elle, puis se mit face a elle et lui dit:

Vous connaissez les Séraféens, n'est-ce pas? Et bien, je veux que vous infiltreriez leur organisation, que vous voliez des informations, sans les regarder, et que vous tuiez Arlf Mondel, un Paladin Séraféen assez important. Si vous acceptez, je vous dirais tout les détails. Si vous refusez, on retrouvera votre cadavre dans un faussé, et on croira que vous avez été violée et tuée par des voleurs de grand chemin.

Elle le regarda, elle était irrité, mais ne même temps amusé. Elle aimait la réaction du bonhomme. Cependant, le fait qu'il puisse savoir se qu'elle se demande dans sa tête l'enrageait. Elle avait levé la tête, lorsque la dague c'était posé sur sa gorge. Il venait de la retiré et elle l'écouta de nouveau.

-J'aurais pu vous tuez, mais je ne l'ai pas fait. Et ne croyez pas que j'ai besoin de vous; le boulot, je pourrais le faire moi-même. C'est juste que je préfèrerais qu'on ne connaisse pas mon existence avant un moment.

Elle le regardait, elle ne comprennait pas sa motivation, mais bon. Elle était une chasseuse de primes et du faire taire les questions qui arrivait par centaine dans sa tête.

- Vous connaissez les Séraféens, n'est-ce pas? Et bien, je veux que vous infiltreriez leur organisation, que vous voliez des informations, sans les regarder, et que vous tuiez Arlf Mondel, un Paladin Séraféen assez important. Si vous acceptez, je vous dirais tout les détails. Si vous refusez, on retrouvera votre cadavre dans un faussé, et on croira que vous avez été violée et tuée par des voleurs de grand chemin.

Elle devait infiltrer les Séraféens?Bien. Elle devait prendre des informations et tué se Arlf Mondel. Ok. Mais le fait qu'il lui pose un ultimatum lui causa un problème, mais bon. Si la providance la rapellait, elle devait si faire. Elle fonça les sourcils de nouveau.

-Je n'accepte que quand je sais pourquoi l'on veut la mort d'une personne, même si on me menace. Ainsi, pourquoi voulez-vous la mort de se Arlf ? Elle avait garder les sourcils froncés et attendait la réponse du vampire.

Je veux la mort de Arlf parce que c'est un Séraféen important, et le frère d'un des grands chef de l'ordre. Et aussi parce que les Séraféens tuent mon peuple. N'est-ce pas suffisant? Je n'irais pas jusqu'a dire que je suis un bon gars qui veut la sécurité de mon peuple; je veux juste qu'il arrête d'envoyé des agents a mes trousses, et qu'il arrête de traquez mes camarades.

Le vampire marcha a nouveau autour d'elle, puis dit:

Vous aurez trois mois pour faire cette mission. Vous deve le tuez, mais pour l'approcher, vous devrez gagné un rang dans l'Ordre des Séraféens. Que vous tentiez de devenir sa maîtresse, sa secrétaire ou peut importe, je veux des résultats. Alors, vous acceptez? Si oui, il est a Stablberg.

- Ok, je crois ou plustôt, je vais accepté. Seulement ça ne vous coûtera une miche de pain. Je ne suis pas la meilleure dans se domaine, mais il m'est aisé de faire se genre de chose... Alors, qu'elle sont les informations que vous voulez que je prenne?

Elle suivais du regard le ''Juste''. Tuer un Séraféens qui est, en plus, frère d'un des dirigeant de l'ordre ne sera pas facile, mais elle était fatigué de l'inactivité. Et ne pourra pas tenir sa promesse faite au petit, mais si elle n'accepte pas et ne la tienderais pas plus...

Comme paiement, je pourrais vous proposez d'inscrire le gamin a une école a Avernus, et vous donnez de l'or. J'ai beaucoup d'argent, ma p'tite Sarianne. ET oui, je sais votre nom. Je connais tout de vous.

Il s'arrêta finnalement de marcher.

Allez au village que je vous ai dit. VOus ne devriez pas avoir de problème a approché Arlf; c'est un homme qui adore les femmes. Faites ce que vous pouvez pour qu'il vous invite dans son manoir, dans le village, et assassinez-le, pusi voler tout ses documents. Mais ne lisez aucun document, sinon je devrais vous faire tuez. Sur ce, bonne chance.

Le vampire recula dans l'ombre, et il disparu aussi rapidement qu'il était arrivé.

Elle roula de nouveau les yeux. Elle le lui avait dit son nom tout à l'heure. Elle était contente, le petit pourrait enfin quitter cette endroit affreuse! Seulement si elle réussi son petit boulot et elle allait la réussir. Elle ne c'était jamais attaqué à des Séraféens et cela risquait d'être plaisant. Surtout si se Arlf aimait les femmes... Ellle se rendit compte qu'il n'était plus là. Elle parti vers l'auberge où elle séjournait depuis deux semaines.

Elle y déposa une note qui était adressé au petit Joshua. Elle prit ses maigres bagages, alla à l'écurie, prépara son cheval et partie. Le chemin était long pour se rendre où elle devait aller, mais le fait de savoir que bientôt elle allait s'amuser, lui donnait de la vigueur.

____________________Fin du sujet_______________